vendredi 23 décembre 2016

Le jugement dernier (Vous avez, Jésus-Christ)

C'est Jésus-Christ lui-même qui nous a annoncé ce qui arrivera à la fin des temps, à savoir de grands cataclysmes dans les cieux, sur la mer et sur la terre qui jetteront les hommes dans la terreur et l'épouvante, puis les morts ressuscitant à l'appel des anges, l'apparition soudaine comme l'éclair du Fils de Dieu venant avec sa sainte croix sur les nuées du ciel, enfin, le jugement solennel départageant les élus d'avec les réprouvés, les premiers étant admis au paradis et les seconds condamnés à l'enfer. Croyant donc fermement ces vérités, vivons toujours de manière conforme à celles-ci, suivant fidèlement la route que les saints nous ont tracée, afin de les rejoindre après notre mort dans la vie éternelle.

Cantique chanté intégralement avec partition vocale affichée :

 




Couplet musical en boucle pour accompagner les chanteurs :

 

- Version 1 (orgue seul) 



- Version 2 (orgue + mélodie aux trompettes)




Paroles du cantique :

 

1
Vous avez, Jésus-Christ,
Plus d'une fois décrit
Cette heure triomphante,
Où le temps finira,
Quand sur nous passera
Un souffle d'épouvante :
Nous verrons dans les cieux
Des signes merveilleux ;
Nous unirons dans l'ombre
A la rumeur des flots
Le bruit des longs sanglots
De nos malheurs sans nombre.

2
A ce cri : "Morts, debout !"
Que rediront partout
Vos Anges de lumière,
Les tombeaux s'ouvriront,
Les morts se lèveront
Dans leur vigueur première.
C'est votre sainte Croix
Qu'ils verront, Roi des rois ;
Tous lui rendront hommage.
Comme un rayon de feu,
Vous viendrez, Fils de Dieu,
Sur un ardent nuage.

3
Etendant votre main,
De tout le genre humain
Vous ferez le partage :
A droite, vos amis,
Ceux auxquels fut promis
Le ciel en héritage ;
A gauche, les damnés,
A l'enfer destinés
Par leur choix volontaire.
Les décrets proférés,
Vous renouvellerez
La face de la terre.

4
Il viendra, ce grand jour
De justice et d'amour,
Tel que l'attend l'Eglise.
Nous croyons fermement
Au dernier jugement
Dans notre foi soumise.
Nous ne quitterons pas
La route qu'ici-bas
Tous vos saints ont suivie,
Pour être, ô doux Jésus,
Du nombre des élus,
Dans l'éternelle vie.

mardi 13 décembre 2016

L'éternité (Sur la terre)

Toute vie sur terre, si longue soit-elle, ne semble qu'un songe quand survient le moment de la mort, et au regard de l'éternité est comme n'étant pas. Si donc il en est ainsi de la vie entière, que dire de la brièveté du plaisir qui nous a porté à pécher, et qui après lui ne laisse qu'un amer remord? Quand donc nous sommes tentés, pensons bien quelle folie se serait que de s'exposer à perdre notre âme pour si peu de chose... Par ailleurs, s'il arrivait qu'une personne par ses mauvais exemples nous entrainerait au mal, n'hésitons pas alors à rompre tout lien avec elle de peur de nous laisser séduire. Enfin, puisqu'il n'existe pas sur la terre de vrai bonheur durable, les chagrins, peines et afflictions étant le lot de toute vie humaine, fixons notre espérance dans les cieux où Dieu nous fera partager son éternelle paix.

Cantique chanté intégralement avec partition vocale affichée :

 




Couplet musical en boucle pour accompagner les chanteurs :

 

- Version 1 (orgue seul) 



- Version 2 (orgue + mélodie au clavinet)




Paroles du cantique :

 

1
Sur la terre, on naît pour mourir,
La plus longue vie est si brève,
Qu'en voyant la mort accourir
Ce qu'on a vécu semble un rêve.

REFRAIN :
Ô voyageur vers la tombe emporté,
Toi dont l'âme est parfois bien lasse,
Tu vois qu'ici-bas tout passe :
Pense à la mort, (bis) pense à l'éternité.

2
Le plaisir nous charme et s'enfuit
Sans qu'on l'ait goûté même une heure :
Le regret qu'il laisse après lui
Est au cœur un poids qui demeure.

3
Le bonheur sans ombre et sans deuil,
Quelle est la maison qu'il habite ?
Le malheur attend sur le seuil :
Et l'on craint toujours sa visite.

4
Chasse loin de toi le pervers
Qui t'entraînerait dans les flammes ;
A quoi bon gagner l'univers
Si tu viens à perdre ton âme !

5
Ô chrétien regarde les cieux,
Puisque près de lui Dieu t'appelle :
C'est là seulement qu'à tes yeux
Brillera la paix éternelle.

samedi 3 décembre 2016

La mort (A la mort)

Puisque tout doit finir à la mort, sans qu'il ne nous reste plus rien alors qu'un cercueil pour notre corps et le poids de toutes les actions de la vie pour notre âme, actions qui seront ensuite passées minutieusement en revue au jugement, cessons d'estimer les plaisirs vains et caducs de ce monde et méprisons les faux honneurs de la terre, pensant plutôt à bien vivre chrétiennement afin de pouvoir parvenir au seul vrai bonheur qui sera le partage des élus dans la vie future.

Cantique chanté intégralement avec partition vocale affichée :

 




Couplet musical en boucle pour accompagner les chanteurs :

 

- Version 1 (orgue seul) 



- Version 2 (orgue + mélodie aux cuivres)




Paroles du cantique :

 

REFRAIN :
A la mort, à la mort,
Pécheur, tout finira,
Le Seigneur à la mort
Te jugera.

1
Ah ! viens, pécheur, près du cercueil,
Viens confondre ton fol orgueil :
Ce que ton cœur estime tant
S'évanouit dans un instant.

2
Vois, que devient ce faux honneur
Qui te semble le seul bonheur !
En reste-t-il même un lambeau,
Dans la nuit sombre du tombeau ?

3
Toi qui ne suis que tes désirs
Et ne rêves que vains plaisirs,
Viens contempler le triste sort
Que te réserve un jour la mort.

4
Oui, je veux vivre en vrai chrétien,
Dans l'espoir de l'éternel bien :
Au ciel, au ciel est sans retour
Le vrai bonheur, le seul amour.

dimanche 27 novembre 2016

Le salut (Pensez-y bien !)

N'ayant qu'une âme et qu'une vie sur la terre, il nous est impératif de toujours veiller à préserver cette âme de tout péché grave pour éviter la damnation éternelle et gagner le ciel. Pour nous y aider, pensons souvent que les plaisirs du monde ne durent qu'un temps tandis que la récompense ou le châtiment dans l'autre vie seront sans fin, que Jésus-Christ ayant versé tout son sang pour notre salut, ce serait une grande ingratitude de laisser perdre le fruit de tant de souffrances par notre négligence, et que notre existence étant bien éphémère il serait téméraire de remettre à plus tard notre conversion. Enfin, pour réussir dans le combat journalier contre nos passions et parvenir sûrement à la patrie céleste, les moyens les plus efficaces sont la prière à Marie, la sainte communion et la fuite des occasions qui nous conduiraient à pécher.

Cantique chanté intégralement avec partition vocale affichée :

 




Couplet musical en boucle pour accompagner les chanteurs :

 

- Version 1 (orgue seul) 



- Version 2 (orgue + mélodie aux violons pizzicato)




Paroles du cantique :

 

1
Pensez-y bien ! votre âme est immortelle :
Semblable à lui Dieu daigna la former :
Elle vivra d'une vie éternelle !
Chrétiens, cette âme, il vous faut la sauver !

REFRAIN :
Je n'ai qu'une âme
Qu'il faut sauver ;
De l'éternelle flamme
Je veux la préserver,
De l'éternelle flamme
Je veux la préserver.

2
Pensez-y bien ! Les plaisirs de la terre
N'ont qu'un éclat trompeur et passager.
D'un ciel sans fin votre âme est l'héritière :
Chrétiens, cette âme, il vous faut la sauver !

3
Pensez-y bien ! Jésus s'est fait victime
Pour racheter votre âme et la payer.
Le sang d'un Dieu fut sa rançon sublime :
Chrétiens, cette âme, il vous faut la sauver !

4
Pensez-y bien ! courte est votre existence :
Comme les flots vos jours vont s'écouler.
Après la mort l'éternité commence :
Chrétiens, votre âme, il vous faut la sauver !

5
Pensez-y bien ! la prière à Marie,
Le pain des forts, la fuite du danger
Conduisent l'âme à la sainte patrie :
Chrétiens, votre âme, il vous faut la sauver !

lundi 21 novembre 2016

Le salut (Chrétien, travaille à ton salut)

Nous devons travailler chaque jour au salut de notre âme, sachant que tout le reste ne nous servirait de rien si nous avions le malheur de la perdre. Pensons d'ailleurs que cela n'est pas si difficile qu'on se l'imagine, tout ne dépendant au fond que de notre volonté. Puis, considérant bien la gravité de ce qui est en jeu (et cela pour une éternité!), à savoir la possession de Dieu même, l'être infiniment parfait auprès de qui tous les biens de la terre ensembles ne sont rien, ou les supplices intolérables de l'enfer, nous ne pourrons rester indifférents, et naîtra infailliblement en nous la ferme volonté de ne reculer devant aucun sacrifice pour parvenir à cette fin.

Cantique chanté intégralement avec partition vocale affichée :

 




Couplet musical en boucle pour accompagner les chanteurs :

 

- Version 1 (orgue seul) 



- Version 2 (orgue + mélodie aux clochettes synthé)



A noter que ce cantique peut également être chanté sur la mélodie populaire: "Vive Jésus, vive sa croix".


Paroles du cantique :

 

1
Chrétien, travaille à ton salut,
Quand on le veut, il est facile ;
Le ciel est notre unique but,
Sans lui tout devient inutile. (bis)

REFRAIN :
Sans le salut, (bis)
Pensons-y bien,
Tout ne nous servira de rien. (bis)

2
Oh ! que l'on perd en le perdant !...
On perd le ciel, où, sans partage,
Le Dieu Très-Haut, le Dieu vivant,
Se donne à nous pour héritage. (bis)

3
Que peut servir tout l'univers
A l'insensé qui perd son âme,
S'il doit toujours, dans les enfers,
Du feu vengeur subir la flamme ? (bis)

4
C'est pour toute une éternité
Qu'on est heureux ou misérable...
Que, devant cette vérité,
Tout ce qui passe est méprisable ! (bis)

5
Dieu tout-puissant, daignez graver
Au plus intime de notre être
La volonté de nous sauver
A quelque prix que ce puisse être. (bis)

mardi 15 novembre 2016

Le salut (Nous n'avons à faire)

Une seule chose doit faire l'objet de nos préoccupations d'ici-bas: sauver notre âme. Nous n'avons été créés en effet que pour jouir de Dieu dans le paradis, et non pour les biens de la terre qui ne pourront jamais rassasier pleinement les désirs de notre cœur. Du reste, quel profit pourrions-nous tirer de la gloire et des plaisirs de ce monde, si ensuite nous devions tomber dans l'abîme éternel, perdant à jamais tout espoir de voir et d'aimer notre bon Sauveur qui a donné sa vie pour nous? Ne recherchons donc que la grâce de Dieu et les biens éternels qui ne périront jamais.

Cantique chanté intégralement avec partition vocale affichée :

 




Couplet musical en boucle pour accompagner les chanteurs :

 

- Version 1 (orgue seul) 



- Version 2 (orgue + mélodie au violon)




Paroles du cantique :

 

1
Nous n'avons à faire
Que notre salut :
C'est là notre but,
C'est là notre unique affaire.

REFRAIN :
Nous serons heureux
En cherchant les cieux ;
Nous serons heureux
En cherchant les cieux.

2
Notre âme immortelle,
Est faite pour Dieu ;
La terre est trop peu,
Ou plutôt n'est rien pour elle.

3
Perte universelle !
Perdre son Sauveur,
Perdre son bonheur,
Perdre la vie éternelle !

4
Poursuis la fumée
D'un bien passager,
Gagne un monde entier :
Quel gain si l'âme est damnée ?

5
Nous cherchons la grâce,
Le reste n'est rien ;
Ce n'est pas un bien
Dès lors qu'il trompe et qu'il passe.

jeudi 10 novembre 2016

Vanité du monde (Nous passons comme une ombre)

Comme une ombre qui ne dure qu'un bref instant, ainsi passe la vie de l'homme; et de même que le souffle du vent éteint soudain la flamme d'une chandelle, ainsi la mort viendra comme un voleur prendre notre âme et la mener au tribunal divin... Afin donc qu'en cet instant décisif nous puissions gagner une sentence favorable, menons toujours une vie bonne, faisant valoir tous les dons qui nous viennent du Seigneur; et aussi détachons notre cœur des faux biens de ce monde qu'il nous faudra nécessairement quitter.

Cantique chanté intégralement avec partition vocale affichée :

 




Couplet musical en boucle pour accompagner les chanteurs :

 

- Version 1 (orgue seul) 



- Version 2 (orgue + mélodie sur un son synthé de genre spatial)




Paroles du cantique :

 

1
Nous passons comme une ombre vaine,
Nous ne naissons que pour mourir !
Quand verrons-nous la mort venir ?
L'heure en est incertaine.

2
Comme le vent éteint la flamme,
Comme il effeuille chaque fleur,
La mort, sans bruit, comme un voleur,
Viendra prendre notre âme.

3
Plaisirs, honneurs de cette terre
S'effaceront à ce moment :
Devant Dieu, l'âme au jugement
Paraîtra solitaire !

4
Ah ! puissions-nous alors connaître
La douce paix, l'ardent espoir
Des serviteurs qui font valoir
Les talents de leur Maître !

5
Puisque notre âme est immortelle,
Laissons les biens qu'il faut quitter !
Tout passe, tout est vanité,
Hors la vie éternelle !

lundi 7 novembre 2016

Vanité du monde (De la terre où tout passe)

Les plaisirs et les honneurs que le monde nous présente ne sont en réalité que des songes qui tôt ou tard s'évanouissent, laissant le cœur vide sans jamais le satisfaire; c'est pourquoi, loin de nous y fonder, nous ne devons nous attacher qu'à Dieu seul, l'unique bien véritable et toujours durable, vers lequel nous devons toujours aspirer du fond de notre exil terrestre.

Cantique chanté intégralement avec partition vocale affichée :

 




Couplet musical en boucle pour accompagner les chanteurs :

 

- Version 1 (orgue seul) 



- Version 2 (orgue + mélodie aux cuivres synthé avec effet de retard)




Paroles du cantique :

 

REFRAIN :
De la terre où tout passe,
Plaisir et vanité,
Seigneur, mon âme lasse
Aspire au seul bonheur de ton éternité.

1
Le monde en vain berce de songes
Le cœur qui croit vivre de lui ;
Honneurs, plaisirs : brillants mensonges,
Soleils d'un jour avant la nuit.

2
Tout bien terrestre est périssable.
Qui veut vers lui tendre la main,
Bâtit sur l'onde et sur le sable
Un faux bonheur tombé demain.

3
Le monde au cœur toujours funeste,
Le creuse au lieu de le combler.
Dieu seul est bon et Dieu seul reste,
Et c'est à Lui qu'il faut aller.

jeudi 3 novembre 2016

Résumé des fins dernières (Le front baissé)

Tous nous marchons malgré nous vers le tombeau: la mort viendra donc fatalement mettre un terme à notre vie, et cela peut-être prochainement, d'où la nécessité d'être toujours prêt pour cet ultime passage; car alors que notre corps sera mis en terre, notre âme aura déjà été jugée selon toutes les actions de notre vie pour son bonheur ou son malheur éternel, et au dernier jour notre corps ressuscité s'unira à elle pour jouir des délices du ciel ou pour brûler dans les flammes de l'enfer. Méditant donc ses grandes vérités, sans jamais nous laisser dominer par l'effroi ou la crainte mais rempli d'espérance, élevons toujours notre esprit vers la patrie céleste pour laquelle nous avons été créés et que nous atteindrons sûrement si, méprisant la vanité de tout ce qui passe, nous visons toujours dans notre agir vers notre véritable but, qui n'est autre que Dieu lui-même.

Cantique chanté intégralement avec partition vocale affichée :

 




Couplet musical en boucle pour accompagner les chanteurs :

 

- Version 1 (orgue seul) 



- Version 2 (orgue + mélodie au trombone)




Paroles du cantique :

 

1
Le front baissé, comme un troupeau,
Tu marches, pauvre foule humaine :
Où t'en vas-tu ? Vers le tombeau :
Malgré toi chaque pas t'y mène.

REFRAIN :
Le cœur joyeux,
Levons les yeux :
L'homme est créé pour vivre aux cieux ! (bis)

2
Elle viendra chez nous s'asseoir,
La mort que nul regret n'arrête,
Demain peut-être... ou bien ce soir :
Qu'importe, si notre âme est prête ?

3
Quand notre corps sera couché
Au noir oubli du cimetière,
Dieu d'un regard aura jugé
Nos œuvres de la vie entière.

4
Jésus aux bons dira : Venez,
Vous, justes que mon ciel réclame !
Mais aux pécheurs : Vous, les damnés,
Tombez dans l'éternelle flamme !

5
Tout ce qui passe est vanité :
Dieu seul est le but qui demeure ;
Marchons toujours vers sa beauté :
Nous l'atteindrons quand viendra l'heure.

vendredi 14 octobre 2016

Pour bien commencer ce blog...

... j'en consacre les prémices à Marie en lui offrant ce premier chant:

  


1- Venez, chrétiens, de l'auguste Marie,
A deux genoux, implorer les faveurs ;
Et pour toucher cette Reine chérie,
Unissons tous et nos voix et nos cœurs !

R- Reine de France,
Priez pour nous,
Notre espérance,
Venez et sauvez-nous !
Reine de France,
Priez pour nous,
Notre espérance,
Venez et sauvez-nous !
Notre espérance,
Venez et sauvez-nous !

2- Pitié pour nous, ô Vierge tutélaire,
Vois, notre esquif menace de sombrer :
Dieu nous punit ; les flots de sa colère
Montent toujours : Mère, viens nous sauver !

3- De nos aïeux bénissant la mémoire,
Nous affirmons la foi des anciens jours ;
Rends-nous la paix, donne-nous la victoire :
Oui, de ton Cœur nous viendra le secours.

4- Quoique pécheurs, tu nous aimes encore,
Et ton doux Cœur n'est pas fermé pour nous.
Vois à tes pieds la France qui t'implore,
Taris ses pleurs, ô Mère, exauce-nous.

5- Je sens mon cœur renaître à l'espérance,
Bonne Marie, en invoquant ton nom :
Oui, tu viendras, tu sauveras la France,
Et de Jésus nous aurons le pardon.


Note: il est possible d'écouter ici trois couplets musicaux de ce cantique.


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